- Épargne actuelle
- Le total de votre épargne à inclure dans la présente analyse.
- Montant à épargner chaque mois
- Le montant que vous verserez mensuellement dans votre fonds d'urgence.
- Dépenses mensuelles de subsistance
- Le total de vos dépenses mensuelles pour subsistance. Il s'agit du total de vos dépenses et non de votre revenu mensuel. N'oubliez pas d'y inclure votre loyer ou votre versement hypothécaire, la nourriture, les vêtements, le chauffage, le téléphone et toutes vos autres dépenses courantes mensuelles. Vous n'avez pas à inclure dans ce montant votre épargne mensuelle et vos cotisations à un fonds de retraite.
- Mois sans emploi
- Advenant que vous vous retrouviez sans emploi, inscrivez le nombre de mois dont vous auriez besoin pour vous trouver un nouvel emploi. Dénicher un nouvel emploi peut prendre entre un mois et un an. Attention : soyez réaliste dans vos prévisions. Assurer vos dépenses mensuelles de subsistance peut s'avérer la plus grosse dépense d'urgence que vous auriez à faire si vous perdiez votre emploi.
- Franchise d'assurance-santé
- Le montant que vous devez payer avant que votre police d'assurance ne s'applique. Certaines polices assurent uniquement une partie de vos frais, après déboursement de la franchise. Si votre police n'assume pas 100 % de vos frais après paiement de la franchise, inscrivez plutôt le montant total maximal des frais que vous auriez à débourser, montant qui peut être considérablement plus important que votre seule franchise.
- Franchise d'assurance-auto
- Le montant que vous devez assumer lorsque vous présentez une réclamation en vertu de votre assurance-auto. Règle générale, cette franchise se situe entre 100 $ et 500 $.
- Franchise d'assurance-habitation
- Le montant que vous devez assumer lorsque vous présentez une réclamation en vertu de votre assurance-habitation, ex. : dommages à la suite d'une tempête. Règle générale, cette franchise se situe entre 250 $ et 1 000 $.
- Autre franchise
- Toute autre franchise liée à une police d'assurance et pour laquelle il vous faudrait puiser dans votre fonds d'urgence.
- Urgences médicales
- Montant total qui vous serait utile en cas d'urgence médicale. N'inscrivez pas les montants qui vous seraient versés par vos assurances. De même, n'incluez pas vos franchises.
- Urgences juridiques
- Frais juridiques d'urgence, par exemple pour assurer votre défense en cas de poursuite au civil ou d'accusations au criminel. N'inscrivez pas les montants qui vous seraient versés par vos assurances. De même, n'incluez pas vos franchises.
- Réparations automobiles d'urgence
- Coûts pour réparations urgentes à votre automobile. N'inscrivez pas les montants qui vous seraient versés par vos assurances. De même, n'incluez pas vos franchises.
- Dommages résidentiels
- Montant total qui vous serait utile en cas de dommages à vos biens, dont votre maison. N'inscrivez pas les montants qui vous seraient versés par vos assurances. De même, n'incluez pas vos franchises.
- Autres urgences
- Les autres sommes qui vous seraient utiles en cas d'urgence, autres que celles entrant dans les catégories médicale, juridique, automobile et résidentielle.
- Taux de rendement
- Le taux de rendement annuel composé attendu sur vos placements, avant impôts. Par exemple, depuis les trente dernières années, le taux moyen de rendement annuel de la Bourse de Toronto est de 8.6% approximativement et le rendement d'un compte bancaire est de 2% ou moins. Il est important de se souvenir que les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. Les investissements à un haut taux de rendement projeté sont plus à risque et volatils et pourraient engendrer une perte en capital.
Votre fonds d'urgence doit être accessible en tout temps. Par conséquent, la plupart des gens devraient inscrire ici un taux d'intérêt prudent, semblable à celui d'un compte d'épargne, et éviter de se tourner vers des placements plus risqués, telles des actions ou des obligations.
- Inscrire taux fédéral d'imposition
- Votre taux d'imposition. Cette calculatrice suppose que vous payez de l'impôt sur tout intérêt gagné à ce taux. Elle suppose aussi que vos impôts sont prélevés sur vos économies à mesure que celles-ci s'accumulent, plutôt qu'à la fin de l'année.